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Numérique à l’export

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1985

C’est en observant l’arrivée des ordinateurs dans les entreprises et en constatant l’émergence de nouveaux métiers comme celui d’éditeur de logiciel, que les fondateurs d’Esker ont compris l’importance de la numérisation et saisi l’opportunité de créer leur structure. Une combinaison visionnaire qui a même anticipé certaines évolutions des systèmes d’information !

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1985-1989

Esker (European Software Kernel) débute ses activités en proposant des services numériques visant à accompagner la transformation digitale de ses clients.

Une année à marquer d’une pierre blanche

Alors qu’il n’existait pas de solution appropriée de connexion de stations de travail à un site central, Esker s’est lancé dans le développement d’un logiciel d’émulation de terminal. Une idée de génie qui a permis de répondre à la problématique d’un premier client puis de nombreux autres.

Le succès de la solution proposée à l'équivalent de 100 euros pièce a rapidement contraint Esker à réajuster sa stratégie commerciale. Fini la vente directe : afin de réduire ses coûts de logistique tout en continuant à dynamiser ses ventes, Esker opte pour un réseau de revendeurs, de distributeurs et d’intégrateurs. Ce réseau lui permet de s’étendre hors de France, en commençant par l’Italie ou l’Espagne.

1989

Esker fait son entrée à la Bourse de Paris, réussit une belle levée de fonds et, pour consolider sa présence au pays de l’Oncle Sam, y rachète quatre entreprises.

1997 – Une année mémorable !

Esker est en mode évolution positive et tous les indicateurs de croissance sont au vert.

1989-1995 – RAS !

Fort de son succès sur le vieux continent, Esker se lance à la conquête des États-Unis, un énorme marché pour les innovations numériques des Frenchies.

1995-2000 – GO WEST !

Embarqué dans une spirale gagnante,
Esker est parti à l’assaut du marché asiatique.

2008 – Direction Singapour

Après quelques passages à vide formateurs, Esker revient en force et renoue avec les profits. Désormais en veille continue, Esker est toujours prête à adapter ses solutions afin qu’elles génèrent un maximum de valeur ajoutée.

2009 – Retour de la croissance

Esker développe des services à forte valeur ajoutée autour d’une solution de gestion de bons de commande par fax proposée par l’une de ses acquisitions américaines. Si le salut est venu d’outre-Atlantique, Esker ne s’est pas endormi sur ses lauriers et y a adjoint une solution digitale innovante de lecture et d’extraction automatique des informations.

2001-2003
(Re)positionnement pour mieux rebondir

Les ventes de l’offre historique s’essoufflent, malgré des améliorations régulières apportées à la solution.

2000 – Petit passage à vide

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P4 - nuage

What’s next ?
Le nerf de la guerre : le recrutement

SIGNATURE INVOX
LA REGION bl

Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

photo-jm-berard.png (copy1)

Les ventes sont parties en flèche, les entreprises qui s'équipaient de PC avaient toutes le même problème. On en a vendu environ 3 millions de copies.

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Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

photo-jm-berard.png (copy2)

Au passage à l’an 2000, les entreprises n’avaient plus vraiment besoin de nos produits. Les systèmes centraux étaient remplacés par des packages plus complets type SAP.

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un succès sans frontière

Le Made in Auvergne-Rhône-Alpes :

Le caméléon booster de talents

Pour se développer, Esker a su s’adapter à ses clients, pour la plupart des multinationales, jusqu’à devenir le partenaire qui leur ressemble mais, surtout, celui qui les accompagne aussi bien sur le continent américain qu’en Asie.

Esker est aussi passé maître en matière de recrutement de V.I.E, une solution RH de mobilité mondiale. Aujourd’hui, Esker est même un aimant à jeunes talents qui ont l’ambition d’aller plus loin et un booster de carrières internationales.

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Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Vivre dans un environnement international est beaucoup plus challengeant. On se heurte à des concurrents de grande qualité, ce qui oblige à se réinventer sans arrêt et à s’améliorer. En restant sur son seul territoire, on prend le risque de se faire nettoyer par un concurrent étranger international, parce qu'il sera plus en avance. C’est l’international qui nous permet de rester dans la course.

dl-texture-dark.png (copy1)

des entreprises françaises qui s’internationalisent sont des entreprises de la tech*. 

31 %

arrow-yellow.png

Pourtant, les entreprises du numérique d’Auvergne-Rhône-Alpes restent encore frileuses quant à leur développement à l’étranger. Seules 35 %** d’entre elles déclarent avoir une activité à l’export ! Le développement de leur chiffre d'affaires à l’étranger n’arrive qu’en 4e position des principaux leviers de croissance envisagés pour les trois années à venir. Cette internationalisation peut faire peur... mais certains champions de la région n’ont pas hésité à franchir le cap. 

Découvrez le retour d’expérience d’un serial exporter

* Baromètre Banque Populaire – Pramex International
** Enquête observatoire du numérique 2020 – Région Auvergne-Rhône-Alpes

Le phénix lyonnais
de la dématérialisation

Esker

esker.png

104 millions d’euros de CA en 2019

750 salariés

600 000 utilisateurs dans 50 pays

P2 - Illu
P2 - map P2 - pin

Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

photo-jm-berard.png (copy)

Sans le savoir, nous avions pris pied sur le marché de la dématérialisation.

illus-quote-yellow.png

Pourquoi quitter son port d’attache quand il présente tous les atouts ? L’aéroport Lyon-Saint-Exupéry n’est-il pas à la croisée des chemins ? Mieux, sa position entre les grandes capitales européennes et les principaux HUB internationaux est même stratégique.

La région Auvergne-Rhône-Alpes est aussi très riche en écoles d’ingénieurs de renommée mondiale. Un vivier d’excellents profils et un avantage par rapport à d’autres régions et pays qui doivent aller chercher bien loin leurs équipes R&D.

Une éclosion depuis Lyon

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Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Vivre dans un environnement international est beaucoup plus challengeant. On se heurte à des concurrents de grande qualité, ce qui oblige à se réinventer sans arrêt et à s’améliorer. En restant sur son seul territoire, on prend le risque de se faire nettoyer par un concurrent étranger international, parce qu'il sera plus en avance. C’est l’international qui nous permet de rester dans la course.

quote-blue.png

La plus grande réussite d’Esker reste son implantation outre-Atlantique. Un choix stratégique qui compte aujourd’hui pour 40 % dans son chiffre d’affaires et promet encore des années de forte croissance, grâce à des clients devenus des partenaires privilégiés

Une aventure américaine qui n’a pourtant pas toujours été évidente et dans laquelle Esker a laissé pas mal de plumes ! En cherchant à y reprendre les clés de sa réussite originelle, Esker s’est heurté aux mastodontes
« made in USA ». Fort heureusement, la santé du groupe européen a permis de surmonter les difficultés. 

La persévérance des dirigeants et l’engagement des équipes ont offert à Esker une place dans la cour des grands de la dématérialisation.     

L’international :
et si c’était à refaire ?

dl-magazine3-page4-customer-satisfaction-star.png dl-magazine3-page4-customer-satisfaction-star.png (copy1) dl-magazine3-page4-customer-satisfaction-star.png (copy2) dl-magazine3-page4-customer-satisfaction-star.png (copy3)

Vous pensez qu'exporter ou s'implanter à l’international en temps de crise est une folie ? Esker vous prouve le contraire. Les actions et stratégies mises en œuvre à l'étranger lui ont permis de pallier les effets de la crise nationale et même de se développer malgré la fermeture de certaines frontières. Bien sûr, des pays fortement touchés comme l’Italie ou l’Espagne ont vu leurs activités diminuer avec le nombre de contrats signés, mais le résultat global d’Esker est équilibré par les chiffres réalisés dans le même temps dans des régions où l’entreprise a une forte présence (Australie, USA, Asie, Europe du Nord…).

En ne misant pas tout sur le même cheval (et on ne parle pas de celui de Troie), Esker a réussi à limiter les dégâts. Si, pour cette période de crise sanitaire et économique mondiale, sa croissance sera de 9 ou 10 % au lieu de 18 %, il y a fort à parier qu’en étant resté dans l’hexagone tous les indicateurs auraient été dans le rouge.

Sa présence à l’international lui a permis de minimiser les risques et a même été un remède à la crise. L’activité à l’étranger a donné à Esker la bouffée d’oxygène nécessaire pour continuer à avancer sans licencier en France, et même poursuivre ses recrutements.

Qui peut se targuer d’avoir recruté quinze développeurs talentueux en pleine crise du Covid ?

Et si l’international était la clé de l’équilibre ?

L’internationalisation peut revêtir différents aspects, faites le point sur vos connaissances dans notre numéro dédié.

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EY

Étude réalisée par EY pour le compte de Digital League

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Numérique à l’export

un succès sans frontière

Le Made in Auvergne-Rhône-Alpes :

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des entreprises françaises qui s’internationalisent sont des entreprises de la tech*. 

31 %

Pourtant, les entreprises du numérique d’Auvergne-Rhône-Alpes restent encore frileuses quant à leur développement à l’étranger. Seules 35 %** d’entre elles déclarent avoir une activité à l’export ! Le développement de leur chiffre d'affaires à l’étranger n’arrive qu’en 4e position des principaux leviers de croissance envisagés pour les trois années à venir. Cette internationalisation peut faire peur... mais certains champions de la région n’ont pas hésité à franchir le cap. 

Découvrez le retour d’expérience d’un serial exporter

* Baromètre Banque Populaire – Pramex International
** Enquête observatoire du numérique 2020 – Région Auvergne-Rhône-Alpes

Le phénix lyonnais
de la dématérialisation

Esker

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104 millions d’euros de CA en 2019

750 salariés

600 000 utilisateurs dans 50 pays

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1985

C’est en observant l’arrivée des ordinateurs dans les entreprises et en constatant l’émergence de nouveaux métiers comme celui d’éditeur de logiciel, que les fondateurs d’Esker ont compris l’importance de la numérisation et saisi l’opportunité de créer leur structure. Une combinaison visionnaire qui a même anticipé certaines évolutions des systèmes d’information !

Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Les ventes sont parties en flèche, les entreprises qui s'équipaient de PC avaient toutes le même problème. On en a vendu environ 3 millions de copies.

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Une année à marquer d’une pierre blanche

Alors qu’il n’existait pas de solution appropriée de connexion de stations de travail à un site central, Esker s’est lancé dans le développement d’un logiciel d’émulation de terminal. Une idée de génie qui a permis de répondre à la problématique d’un premier client puis de nombreux autres.

Le succès de la solution proposée à l'équivalent de 100 euros pièce a rapidement contraint Esker à réajuster sa stratégie commerciale. Fini la vente directe : afin de réduire ses coûts de logistique tout en continuant à dynamiser ses ventes, Esker opte pour un réseau de revendeurs, de distributeurs et d’intégrateurs. Ce réseau lui permet de s’étendre hors de France, en commençant par l’Italie ou l’Espagne.

1989

1985-1989

Esker (European Software Kernel) débute ses activités en proposant des services numériques visant à accompagner la transformation digitale de ses clients.

Esker est en mode évolution positive et tous les indicateurs de croissance sont au vert.

1989-1995 – RAS !

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Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Au passage à l’an 2000, les entreprises n’avaient plus vraiment besoin de nos produits. Les systèmes centraux étaient remplacés par des packages plus complets type SAP.

Fort de son succès sur le vieux continent, Esker se lance à la conquête des États-Unis, un énorme marché pour les innovations numériques des Frenchies.

1995-2000 – GO WEST !

Esker fait son entrée à la Bourse de Paris, réussit une belle levée de fonds et, pour consolider sa présence au pays de l’Oncle Sam, y rachète quatre entreprises.

1997 – Une année mémorable !

Les ventes de l’offre historique s’essoufflent, malgré des améliorations régulières apportées à la solution.

2000 – Petit passage à vide

Embarqué dans une spirale gagnante, Esker est parti à l’assaut du marché asiatique.

2008 – Direction Singapour

Esker développe des services à forte valeur ajoutée autour d’une solution de gestion de bons de commande par fax proposée par l’une de ses acquisitions américaines. Si le salut est venu d’outre-Atlantique, Esker ne s’est pas endormi sur ses lauriers et y a adjoint une solution digitale innovante de lecture et d’extraction automatique des informations.

2001-2003
(Re)positionnement pour mieux rebondir

Après quelques passages à vide formateurs, Esker revient en force et renoue avec les profits. Désormais en veille continue, Esker est toujours prête à adapter ses solutions afin qu’elles génèrent un maximum de valeur ajoutée.

2009 – Retour de la croissance

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Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Sans le savoir, nous avions pris pied sur le marché de la dématérialisation.

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Pourquoi quitter son port d’attache quand il présente tous les atouts ? L’aéroport Lyon-Saint-Exupéry n’est-il pas à la croisée des chemins ? Mieux, sa position entre les grandes capitales européennes et les principaux HUB internationaux est même stratégique.

La région Auvergne-Rhône-Alpes est aussi très riche en écoles d’ingénieurs de renommée mondiale. Un vivier d’excellents profils et un avantage par rapport à d’autres régions et pays qui doivent aller chercher bien loin leurs équipes R&D.

Une éclosion depuis Lyon

La plus grande réussite d’Esker reste son implantation outre-Atlantique. Un choix stratégique qui compte aujourd’hui pour 40 % dans son chiffre d’affaires et promet encore des années de forte croissance, grâce à des clients devenus des partenaires privilégiés

Une aventure américaine qui n’a pourtant pas toujours été évidente et dans laquelle Esker a laissé pas mal de plumes ! En cherchant à y reprendre les clés de sa réussite originelle, Esker s’est heurté aux mastodontes
« made in USA ». Fort heureusement, la santé du groupe européen a permis de surmonter les difficultés. 

La persévérance des dirigeants et l’engagement des équipes ont offert à Esker une place dans la cour des grands de la dématérialisation.     

L’international :
et si c’était à refaire ?

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Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Vivre dans un environnement international est beaucoup plus challengeant. On se heurte à des concurrents de grande qualité, ce qui oblige à se réinventer sans arrêt et à s’améliorer. En restant sur son seul territoire, on prend le risque de se faire nettoyer par un concurrent étranger international, parce qu'il sera plus en avance. C’est l’international qui nous permet de rester dans la course.

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Pour se développer, Esker a su s’adapter à ses clients, pour la plupart des multinationales, jusqu’à devenir le partenaire qui leur ressemble mais, surtout, celui qui les accompagne aussi bien sur le continent américain qu’en Asie.

Esker est aussi passé maître en matière de recrutement de V.I.E, une solution RH de mobilité mondiale. Aujourd’hui, Esker est même un aimant à jeunes talents qui ont l’ambition d’aller plus loin et un booster de carrières internationales.

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Vous pensez qu'exporter ou s'implanter à l’international en temps de crise est une folie ? Esker vous prouve le contraire. Les actions et stratégies mises en œuvre à l'étranger lui ont permis de pallier les effets de la crise nationale et même de se développer malgré la fermeture de certaines frontières. Bien sûr, des pays fortement touchés comme l’Italie ou l’Espagne ont vu leurs activités diminuer avec le nombre de contrats signés, mais le résultat global d’Esker est équilibré par les chiffres réalisés dans le même temps dans des régions où l’entreprise a une forte présence (Australie, USA, Asie, Europe du Nord…).

En ne misant pas tout sur le même cheval (et on ne parle pas de celui de Troie), Esker a réussi à limiter les dégâts. Si, pour cette période de crise sanitaire et économique mondiale, sa croissance sera de 9 ou 10 % au lieu de 18 %, il y a fort à parier qu’en étant resté dans l’hexagone tous les indicateurs auraient été dans le rouge.

Sa présence à l’international lui a permis de minimiser les risques et a même été un remède à la crise. L’activité à l’étranger a donné à Esker la bouffée d’oxygène nécessaire pour continuer à avancer sans licencier en France, et même poursuivre ses recrutements.

Qui peut se targuer d’avoir recruté quinze développeurs talentueux en pleine crise du Covid ?

Et si l’international était la clé de l’équilibre ?

Jean-Michel Bérard
Fondateur et CEO
Esker

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Vivre dans un environnement international est beaucoup plus challengeant. On se heurte à des concurrents de grande qualité, ce qui oblige à se réinventer sans arrêt et à s’améliorer. En restant sur son seul territoire, on prend le risque de se faire nettoyer par un concurrent étranger international, parce qu'il sera plus en avance. C’est l’international qui nous permet de rester dans la course.

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Étude réalisée par EY pour le compte de Digital League

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