Aller plus haaaauuuuuuuut…

Oui, mais comment ?

En matière d’économie, les idées reçues ont la vie dure. L’optimisme est souvent de bon ton mais est-il toujours justifié ? En région Auvergne-Rhône-Alpes, les entreprises de l’industrie numérique mettent la barre haute : 31 % d’entre-elles envisagaient une progression de leur chiffre d’affaires de plus de 20 % en 2019*.

Le bon sens voudrait en effet que tout le monde tende vers cette « sacro-sainte croissance ». Pourtant, le tissu d’entreprises du numérique reste majoritairement constitué de petites structures, qui semblent hésiter à prendre leur dose d’hormone de croissance... Sont-elles prêtes à passer le cap de l’ETI (entreprise de taille intermédiaire) ? Ou bien ont-elles tout intérêt à limiter volontairement leur croissance ?

des entreprises de l’industrie numérique de la région Auvergne-Rhônes-Alpes sont des TPE. Les PME, quant à elles, représentent 28 % des établissements.

70 %

Comment dépasser le
« dilemme de la croissance » ?

La croissance est un indicateur phare. Mais que recouvre exactement cette notion ? Saviez-vous par exemple, que la croissance se décline au pluriel ? Ces différentes croissances induisent des problématiques hétérogènes en termes de gestion. Décryptage.

Il s’agit généralement de la plus désirée. On pourrait en effet penser que toute entreprise cherche à augmenter son chiffre d’affaires, car l’entreprise est avant tout un centre de profit. Avouons-le, peu d’entrepreneurs se lancent dans l’aventure en voulant perdre des sous. Sauf qu’une fois le seuil critique atteint, un développement effréné de l’activité n’est pas toujours souhaitable. 

Face à un pic de demande, certaines entreprises ne peuvent absorber l’augmentation exponentielle des commandes. Résultat : les stocks sont pris d’assaut, les commandes tardent à être livrées… et la machine s’enraye.

Développer son CA, c’est bien, mais s’assurer en amont que la charge de travail supplémentaire peut être absorbée, c’est mieux !

La croissance, parlons-en !

La croissance
du chiffre d'affaires

La croissance
de part de marché

L’augmentation des parts de marché d’une entreprise dans son industrie n’est pas forcément représentative de la croissance de son CA et inversement. Ainsi, il est fréquent qu’une entreprise augmente son CA sans pour autant augmenter son poid sur le marché si ce dernier est en expansion. On parle alors de croissance « portée » (par le marché).

Cette croissance est particulièrement significative si vous visez un marché mature. Pour des marchés n’ayant pas encore atteint ce stade de maturité, cet indicateur désigne surtout un potentiel de croissance.

La croissance
des effectifs

Elle est souvent liée, de manière plus ou moins directe, à la croissance de votre CA. Avoir une bonne maîtrise de cet indicateur vous permet de suivre la cadence de production, de créer des pôles de savoir-faire, d’internaliser certains process et, surtout, de
D-É-L-É-G-U-E-R.

D’un autre côté, prendre le chemin de cette croissance vous impose une réorganisation, ou encore la mise en place de nouvelles strates de management. La croissance de l’effectif confronte ainsi l’entreprise à de nouvelles problématiques de gestion. Exemple le plus criant : quand le marché est très tendu, vous devrez rapidement recruter… à condition de trouver les bons candidats. 

des entreprises du numérique en Auvergne-Rhônes-Alpes ont des postes non pourvus*.

48 %

Vous êtes-vous efficacement préparé à cette éventualité ? Non ? C’est votre jour de chance : les adhérents Digital League ont quelques conseils à vous donner pour bien recruter. 

La croissance
géographique

C’est encore une autre forme de croissance, dite
« extensive ». L’entreprise croît en s’implantant
dans de nouveaux pays. Vous visez de nouveaux marchés ? La France ne vous suffit plus ? Découvrez notre Mag consacré à l'internationalisation !

Grandir, c’est aussi se sécuriser face aux autres, continuer à innover et proposer des solutions différenciantes. Les concurrents n’ont qu’un seul objectif : prendre des parts de marché, atteindre un certain niveau de connaissance, de technicité et de technologie... Si on ne suit pas le mouvement, on ne se donne pas les moyens de son ambition.

Alexandre Lecki,
Responsable du développement Auvergne-Rhône-Alpes,
Sogedev

2 étapes pour anticiper les paliers de la croissance

Les différents paliers de croissance traversées par une entreprise au cours de sa vie, peuvent être plus ou moins bien vécus par les fondateurs et les salariés de l’entreprise. Afin d’éviter les traumatismes, anticipez ces changements en amont.


#1 Structurer votre organisation

Avant de recruter à tour de bras, vous devez restructurer vos pôles de production, aménager des pôles de spécialisation et clarifier les missions de chacun. Vous devrez ainsi mettre à jour le projet de l’entreprise et rédiger des fiches de poste. Pour accueillir correctement vos nouvelles recrues, faites preuve d’organisation et misez sur la communication.


#2 Accompagner le changement

Pour accompagner cet accroissement de la division du travail au sein de l'entreprise, vous allez également devoir restructurer votre service des ressources humaines. En effet, la clé d’une expansion réussie réside dans le bon accompagnement de vos salariés et de leurs attentes.

Les différents paliers de croissance

Spécialisation accrue
Coordination augmentée
Formalisation accentuée

Taille de l'entreprise
(nombre de salariés)

TPE
(< 10)

PE
(< 50)

PME
(< 250)

ME
(< 500)

GE
(> 500)

TGE
(>10 000)

Entreprises de taille intermédiaire (ETI)

Moderation is the new growth

Nous assistons aujourd’hui à un changement de paradigme. Conscients qu’une augmentation des ventes n’implique pas forcément une augmentation de la rentabilité, certains entrepreneurs n’hésitent plus à se détourner de la croissance effrénée.

Quelles sont les conséquences de ce glissement sur la gestion financière des entreprises ? Quelles immobilisations engager pour soutenir ou rentrer dans ce nouveau modèle économique ? Vous devrez prendre en compte les flux de trésorerie, envisager une nouvelle dette et très probablement, de nouveaux investissements afin de créer de la valeur autrement. Mais la bonne nouvelle est que ce changement de rythme vous permettra de dégager du temps – que vous pourrez investir dans un meilleur monitoring de votre croissance, tout en gardant un œil sur vos objectifs de départ et en respectant vos valeurs fondatrices.

Pérenniser avant de croître

Une croissance continue, soutenable et accessible s’impose aujourd’hui pour un grand nombre d’entreprises. Cette nouvelle vision met le curseur sur la pérennisation du modèle économique avant le profit. La croissance ne tend plus vers l’augmentation de son CA mais vers le maintien ou l’accroissement de la rentabilité. Il est donc possible de choisir volontairement de ne pas grandir ou du moins de ralentir sa croissance.

S’adapter au lieu de batailler

« Si on n’apporte pas de financement aujourd’hui, on continuera sur notre croissance annuelle de 30 %, ce qui est tout à fait viable. Je ne parle pas de slow start up, je parle de PME rentable, arrêtons de rêver à des licornes qui n’existent pas ! Mais il n’empêche que si vous êtes sur un marché qui va assez vite, il ne faut pas perdre pied donc si nous pouvons prendre quelques années d’avance avec un financement complémentaire, il faut le faire. Ce financement restera vertueux avec une partie en equity, une partie en dette et avec la BPI au milieu de tout ça. »

« Le but est de s’installer avec une présence forte mais sans chercher à assommer le marché. Notre construction est saine pour l’entreprise mais aussi pour les salariés : nous souhaitons que chacun se sente bien dans le rôle qu’on lui a attribué et les missions qui sont les siennes. Nos collaborateurs doivent pouvoir développer leurs compétences et être en capacité d’accompagner tous types de projet. »

Olivier Sire
CEO & fondateur, Agence Markson

Stéphane Couleaud
CEO, Webmecanik

Bien sûr, on ne vous dit pas de ne pas croître… mais de bien croître ! Mais comment faire ? Commencez par assister au match de la croissance externe vs. la croissance interne… 

Avant, la croissance était le Saint Graal de l’entreprise, la condition sine qua non de sa réussite. Mais ce n’est plus une obligation ! La bonne santé économique d’une entreprise n’implique pas de croître à tout prix. 

En tant que dirigeant d’entreprise, avez-vous fixé des objectifs chiffrés ? Sont-ils réalistes ? Avez-vous défini les seuils que vous êtes prêts à atteindre ou, au contraire, à ne pas dépasser ? Toute aventure entrepreneuriale, qu’elle soit fructueuse ou non, fait grandir. Mais une chose est sûre : pour se développer, il est aussi essentiel de s’adapter.

Prenez la bonne direction !

Le premier élément à prendre en compte avant de définir votre stratégie d’entreprise est la « direction » dans laquelle vous souhaitez aller. Il est primordial de déterminer le type de croissance que vous visez. C’est en qualifiant la croissance que vous pourrez définir vos objectifs, les KPI à suivre, etc. Il serait dommage de piloter votre stratégie en vous basant sur les mauvais indicateurs...

Êtes-vous « scalable » ?

Avant de penser croissance, avez-vous pensé à la scalabilité de votre structure ? En d’autres termes : êtes-vous capable de faire face à une augmentation soudaine de la demande ? Bien sûr, ces interrogations sont à prendre avec des pincettes. Tout dépend de votre domaine d’activité et de votre modèle économique.

Bon à savoir

Plus votre effectif est important, plus vous avez d’obligations à respecter. Au-delà des seuils de 10, 20 ou 50 salariés, la législation française impose un cadre réglementaire vis-à-vis de vos salariés et de la gestion de votre entreprise. Exemples : la hausse du taux de cotisation à la formation professionnelle continue, ou encore la mise en place d'une participation au résultat pour les salariés. 

Anticipez ces nouvelles règles au maximum.

Aller plus haaaauuuuuuuut…

Oui, mais comment ?

En matière d’économie, les idées reçues ont la vie dure. L’optimisme est souvent de bon ton mais est-il toujours justifié ? En région Auvergne-Rhône-Alpes, les entreprises de l’industrie numérique mettent la barre haute : 31 % d’entre-elles envisagaient une progression de leur chiffre d’affaires de plus de 20 % en 2019*.

Le bon sens voudrait en effet que tout le monde tende vers cette « sacro-sainte croissance ». Pourtant, le tissu d’entreprises du numérique reste majoritairement constitué de petites structures, qui semblent hésiter à prendre leur dose d’hormone de croissance... Sont-elles prêtes à passer le cap de l’ETI (entreprise de taille intermédiaire) ? Ou bien ont-elles tout intérêt à limiter volontairement leur croissance ?

des entreprises de l’industrie numérique de la région Auvergne-Rhônes-Alpes sont des TPE. Les PME, quant à elles, représentent 28 % des établissements.

70 %

Comment dépasser le
« dilemme de la croissance » ?

La croissance, parlons-en !

La croissance est un indicateur phare. Mais que recouvre exactement cette notion ? Saviez-vous par exemple, que la croissance se décline au pluriel ? Ces différentes croissances induisent des problématiques hétérogènes en termes de gestion. Décryptage.

Prenez la bonne direction !

Le premier élément à prendre en compte avant de définir votre stratégie d’entreprise est la « direction » dans laquelle vous souhaitez aller. Il est primordial de déterminer le type de croissance que vous visez. C’est en qualifiant la croissance que vous pourrez définir vos objectifs, les KPI à suivre, etc. Il serait dommage de piloter votre stratégie en vous basant sur les mauvais indicateurs...

La croissance
du chiffre d'affaires

Il s’agit généralement de la plus désirée. On pourrait en effet penser que toute entreprise cherche à augmenter son chiffre d’affaires, car l’entreprise est avant tout un centre de profit. Avouons-le, peu d’entrepreneurs se lancent dans l’aventure en voulant perdre des sous. Sauf qu’une fois le seuil critique atteint, un développement effréné de l’activité n’est pas toujours souhaitable. 

Face à un pic de demande, certaines entreprises ne peuvent absorber l’augmentation exponentielle des commandes. Résultat : les stocks sont pris d’assaut, les commandes tardent à être livrées… et la machine s’enraye.

Développer son CA, c’est bien, mais s’assurer en amont que la charge de travail supplémentaire peut être absorbée, c’est mieux !

Êtes-vous « scalable » ?

Avant de penser croissance, avez-vous pensé à la scalabilité de votre structure ? En d’autres termes : êtes-vous capable de faire face à une augmentation soudaine de la demande ? Bien sûr, ces interrogations sont à prendre avec des pincettes. Tout dépend de votre domaine d’activité et de votre modèle économique.

La croissance
de part de marché

L’augmentation des parts de marché d’une entreprise dans son industrie n’est pas forcément représentative de la croissance de son CA et inversement. Ainsi, il est fréquent qu’une entreprise augmente son CA sans pour autant augmenter son poid sur le marché si ce dernier est en expansion. On parle alors de croissance « portée » (par le marché).

Cette croissance est particulièrement significative si vous visez un marché mature. Pour des marchés n’ayant pas encore atteint ce stade de maturité, cet indicateur désigne surtout un potentiel de croissance.

La croissance
des effectifs

Elle est souvent liée, de manière plus ou moins directe, à la croissance de votre CA. Avoir une bonne maîtrise de cet indicateur vous permet de suivre la cadence de production, de créer des pôles de savoir-faire, d’internaliser certains process et, surtout, de
D-É-L-É-G-U-E-R.

D’un autre côté, prendre le chemin de cette croissance vous impose une réorganisation, ou encore la mise en place de nouvelles strates de management. La croissance de l’effectif confronte ainsi l’entreprise à de nouvelles problématiques de gestion. Exemple le plus criant : quand le marché est très tendu, vous devrez rapidement recruter… à condition de trouver les bons candidats. 

des entreprises du numérique en Auvergne-Rhônes-Alpes ont des postes non pourvus*.

48 %

Vous êtes-vous efficacement préparé à cette éventualité ? Non ? C’est votre jour de chance : les adhérents Digital League ont quelques conseils à vous donner pour bien recruter. 

La croissance
géographique

C’est encore une autre forme de croissance, dite « extensive ». L’entreprise croît en s’implantant
dans de nouveaux pays. Vous visez de nouveaux marchés ? La France ne vous suffit plus ? Découvrez notre Mag consacré à l'internationalisation !

« Grandir, c’est aussi se sécuriser face aux autres, continuer à innover et proposer des solutions différenciantes. Les concurrents n’ont qu’un seul objectif : prendre des parts de marché, atteindre un certain niveau de connaissance, de technicité et de technologie... Si on ne suit pas le mouvement, on ne se donne pas les moyens de son ambition. »

Alexandre Lecki,
Responsable du développement Auvergne-Rhône-Alpes,
Sogedev

2 étapes pour anticiper les paliers de la croissance

Les différents paliers de croissance traversées par une entreprise au cours de sa vie, peuvent être plus ou moins bien vécus par les fondateurs et les salariés de l’entreprise. Afin d’éviter les traumatismes, anticipez ces changements en amont.


#1 Structurer votre organisation

Avant de recruter à tour de bras, vous devez restructurer vos pôles de production, aménager des pôles de spécialisation et clarifier les missions de chacun. Vous devrez ainsi mettre à jour le projet de l’entreprise et rédiger des fiches de poste. Pour accueillir correctement vos nouvelles recrues, faites preuve d’organisation et misez sur la communication.


#2 Accompagner le changement

Pour accompagner cet accroissement de la division du travail au sein de l'entreprise, vous allez également devoir restructurer votre service des ressources humaines. En effet, la clé d’une expansion réussie réside dans le bon accompagnement de vos salariés et de leurs attentes.

Bon à savoir

Plus votre effectif est important, plus vous avez d’obligations à respecter. Au-delà des seuils de 10, 20 ou 50 salariés, la législation française impose un cadre réglementaire vis-à-vis de vos salariés et de la gestion de votre entreprise. Exemples : la hausse du taux de cotisation à la formation professionnelle continue, ou encore la mise en place d'une participation au résultat pour les salariés. 

Anticipez ces nouvelles règles au maximum.

Les différents paliers de croissance

Spécialisation accrue
Coordination augmentée
Formalisation accentuée

Taille de l'entreprise
(nombre de salariés)

TPE
(< 10)

PE
(< 50)

PME
(< 250)

ME
(< 500)

Entreprises de taille intermédiaire (ETI)

Moderation is the new growth

Nous assistons aujourd’hui à un changement de paradigme. Conscients qu’une augmentation des ventes n’implique pas forcément une augmentation de la rentabilité, certains entrepreneurs n’hésitent plus à se détourner de la croissance effrénée.

Quelles sont les conséquences de ce glissement sur la gestion financière des entreprises ? Quelles immobilisations engager pour soutenir ou rentrer dans ce nouveau modèle économique ? Vous devrez prendre en compte les flux de trésorerie, envisager une nouvelle dette et très probablement, de nouveaux investissements afin de créer de la valeur autrement. Mais la bonne nouvelle est que ce changement de rythme vous permettra de dégager du temps – que vous pourrez investir dans un meilleur monitoring de votre croissance, tout en gardant un œil sur vos objectifs de départ et en respectant vos valeurs fondatrices.

Pérenniser avant de croître

Une croissance continue, soutenable et accessible s’impose aujourd’hui pour un grand nombre d’entreprises. Cette nouvelle vision met le curseur sur la pérennisation du modèle économique avant le profit. La croissance ne tend plus vers l’augmentation de son CA mais vers le maintien ou l’accroissement de la rentabilité. Il est donc possible de choisir volontairement de ne pas grandir ou du moins de ralentir sa croissance.

S’adapter au lieu de batailler

« Si on n’apporte pas de financement aujourd’hui, on continuera sur notre croissance annuelle de 30 %, ce qui est tout à fait viable. Je ne parle pas de slow start up, je parle de PME rentable, arrêtons de rêver à des licornes qui n’existent pas ! Mais il n’empêche que si vous êtes sur un marché qui va assez vite, il ne faut pas perdre pied donc si nous pouvons prendre quelques années d’avance avec un financement complémentaire, il faut le faire. Ce financement restera vertueux avec une partie en equity, une partie en dette et avec la BPI au milieu de tout ça. »

« Le but est de s’installer avec une présence forte mais sans chercher à assommer le marché. Notre construction est saine pour l’entreprise mais aussi pour les salariés : nous souhaitons que chacun se sente bien dans le rôle qu’on lui a attribué et les missions qui sont les siennes. Nos collaborateurs doivent pouvoir développer leurs compétences et être en capacité d’accompagner tous types de projet. »

Olivier Sire
CEO & fondateur, Agence Markson

Stéphane Couleaud
CEO, Webmecanik

Avant, la croissance était le Saint Graal de l’entreprise, la condition sine qua non de sa réussite. Mais ce n’est plus une obligation ! La bonne santé économique d’une entreprise n’implique pas de croître à tout prix. 

En tant que dirigeant d’entreprise, avez-vous fixé des objectifs chiffrés ? Sont-ils réalistes ? Avez-vous défini les seuils que vous êtes prêts à atteindre ou, au contraire, à ne pas dépasser ? Toute aventure entrepreneuriale, qu’elle soit fructueuse ou non, fait grandir. Mais une chose est sûre : pour se développer, il est aussi essentiel de s’adapter.

Bien sûr, on ne vous dit pas de ne pas croître… mais de bien croître ! Mais comment faire ? Commencez par assister au match de la croissance externe vs. la croissance interne… 

GE
(> 500)

TGE
(>10 000)

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