Les membres
Digital League
à l'étranger
Votre entreprise se porte bien, votre produit plaît, vos salariés sont engagés, ils croient en votre vision et ils ont bien raison car votre modèle fonctionne. Cependant, la croissance des premiers jours n’est plus au rendez-vous, si vos retours clients restent excellent, le marché, quant à lui, semble saturé…
Qui sait ? C’est peut-être le signe qu’il est temps de partir à la conquête de nouvelles contrées ?
des entreprises françaises qui s’internationalisent
sont des entreprises de la tech : services logiciels & informatiques*. Les entrepreneurs d’Auvergne-Rhône-Alpes ne font évidemment pas exception à la règle.
31 %
* Baromètre Banque Populaire - Pramex International
découvrez l’itinéraire des adhérents
globe-trotters de Digital League !
D’un continent à l’autre,
Home sweet home?
Vous n’êtes pas encore décidé à franchir les frontières ? Vous avez raison : rien ne sert de courir :
il faut partir à point. Votre projet d’internationalisation doit être mûrement réfléchi afin d’éviter la déroute. Ce Mag by Digital League vous donnera à coup sûr quelques pistes de réflexion.
Qui est parti ? Où ? Pourquoi ? Et… qui est revenu ? Les adhérents Digital League partagent avec vous leur expérience à l’international.
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Votre entreprise se porte bien, votre produit plaît, vos salariés sont engagés, ils croient en votre vision et ils ont bien raison car votre modèle fonctionne. Cependant, la croissance des premiers jours n’est plus au rendez-vous, si vos retours clients restent excellent, le marché, quant à lui, semble saturé…
Qui sait ? C’est peut-être le signe qu’il est temps de partir à la conquête de nouvelles contrées ?
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sont des entreprises de la tech : services logiciels & informatiques*. Les entrepreneurs d’Auvergne-Rhône-Alpes ne font évidemment pas exception à la règle.
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D’un continent à l’autre,
La pénétration du marché américain demande des moyens monstrueux, 1 à 2 millions d’euros selon moi, ou alors il faut avoir une technologie vraiment différenciante. À offre comparable, il n’y a pas de raison à ce que ce soit le produit français qui soit sélectionné.
Timothée Saumet
Cofondateur et CTO de Tilkee
Dans le domaine du logiciel industriel, les Asiatiques n’attendent pas les même fonctionnalités que le marché européen. Ils préfèrent conserver des fonctions plus manuelles alors que nous avons, en Europe, une philosophie du “tout automatique”. Il faut toujours trouver un compromis.
Philippe Rouzeau
Responsable du réseau de
distribution d’Alma
L’Inde est un marché à fort potentiel, mais il y a toujours un risque de se faire concurrencer par des acteurs locaux qui proposent parfois des offres moins abouties, moins techniques que les nôtres. Pour nous, l’enjeu est d’évaluer à quel niveau de prix, quel niveau de technicité les contrats vont se faire.
Didier Paen
Directeur innovation de Corys
Nous sommes sur des zones qui ne sont pas aussi stables que les États-Unis, le Japon ou l’Allemagne… Nos marchés sont impactés par la géopolitique. Par exemple, nous distribuons des solutions américaines, en cas d’embargo en Iran, nous ne pouvons plus vendre sur place. On peut du coup avoir des variations de dynamique de marché d’un pays à l’autre.
Damien Leretaille
Managing Director de Vocaza
Les Britanniques ont intégré tous les codes du marché américain, vous êtes littéralement en concurrence avec les Américains sur place. Il s’agit d’une étape qui vous fait mûrir – un bon moyen de se préparer sans investir des fortunes.
Jean-Michel Bérard
Président directeur d’Esker
Home sweet home?
Vous n’êtes pas encore décidé à franchir les frontières ? Vous avez raison : rien ne sert de courir : il faut partir à point. Votre projet d’internationalisation doit être mûrement réfléchi afin d’éviter la déroute. Ce Mag by Digital League vous donnera à coup sûr quelques pistes de réflexion.
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