Stratégie


Ressources humaines

S’entourer de business developer français pour développer l’international.


Baser son internationalisation sur des équipes peu expérimentées.


Jeter votre V.I.E dans la cage aux fauves en lui donnant des responsabilités et des objectifs irréalistes.

Dont's


Networking

S’assurer d’avoir les talents / la gestion RH adéquats (maîtrise de la langue, connaissance des marchés internationaux…).


S’assurer d’avoir l’organisation adéquate (possibilité de déléguer).


Envoyer des facilitateurs d’implantation expérimentés issus du siège pour le lancement du business en soutien aux équipes locales

Do's

Do's

Rechallenger son business model


Mener une analyse poussée de son futur marché (taille, maturité, habitudes de consommation, législation…) 


S’assurer que son produit est bien adapté et ne pas hésiter à le repenser en impliquant ses équipes techniques
(prix, marketing, fonctionnalités...)


Bien évaluer le montant des investissements requis en fonction du lieu d’intégration (coût réels, temps passé à l’adaptation des équipes...)


Se fixer des objectifs SMART et se doter d’indicateurs de réussite adaptés à ce nouveau marché


Adopter une logique « test & learn » auprès d’acteurs locaux

Dont's


Négliger la « maison mère », rogner sur sa feuille de route en concentrant ses moyens sur le nouveau marché


Exclure ses équipes managériales de
la réflexion stratégique


Sous-estimer ou négliger les différences culturelles 


Dupliquer la même stratégie dans tous les pays visés


Se lancer sur plusieurs marchés
en même temps, sans priorisation


Choisir le pays d’implantation par simple aspiration personnelle ou pour suivre la concurrence


Do's

Intégrer un réseau local


Se doter de partenaires locaux


Se faire entourer et soutenir financièrement

Dont's

Partir seul


Négliger son réseau de distributeur


Faire fi des retours d’expérience

Le conseil de MyBus

Il ne faut surtout pas hésiter à solliciter le réseau des Chambres de commerce françaises à l’étranger, qui permet très facilement d’avoir des contacts avec des entreprises présentes sur place depuis longtemps. Le réseau French Tech est également un atout à saisir rapidement. Ils permettent de commencer à explorer un marché grâce à de nombreuses mises en relation. On n’en a pas toujours conscience, mais la communauté des entreprises françaises à l’étranger est très active. Les consulats et ambassades de France sont aussi facilitateurs d’implantation, de développement et de rayonnement économique pour les entreprises françaises.

Franck Raynaud
Cofondateur et COO

Do’s & don’ts

Réussir son internationalisation :
ce qu’il faut faire… ou pas !

L’internationalisation de votre activité ne s’inscrit pas dans une démarche opportuniste, enfin… pas uniquement ! Pas toujours simple de prendre le recul nécessaire tant les enjeux sont importants.

Voilà quelques conseils, qui pourront servir de guide pour les futures structures internationales.

Votre produit en lui-même, un nouveau client, une législation favorable sont autant d’opportunités qu’il faut savoir saisir. Mais pas à n’importe quel prix !

Le conseil de Tilkee

Pas besoin de commencer par monter une filiale ou déplacer une équipe de 10 personnes si on n’est pas capable dans un premier temps de vendre à distance. C’est ce qui permet de tâter le terrain, d’amorcer la pompe. 

Timothée Saumet
Cofondateur et CTO

Le conseil de Corys

Il faut identifier si ce qui va être prédominant pour le client va être la technologie achetée ou bien le prix. Par exemple, pour un simulateur de train, une partie importante du prix couvre la création des environnements 3D tout au long de la ligne de train. Il faut adapter le niveau de qualité au niveau de prix attendu par le client. D’où l’importance de bien connaître le contexte du marché

Didier Paen
Directeur innovation

Le conseil de Tilkee

Un enseignement fondamental : il faut que l’équipe commerciale ressemble à son marché. Si je vends
60 % en France, 10 % aux États-Unis et 30 % au Royaume-Uni, il me faut 6 Français, 1 Américain et 3 Anglais dans mon équipe commerciale. Car la barrière du langage – ou de la culture – joue énormément dans une vente complexe.

Timothée Saumet
Cofondateur et CTO

Le conseil de Vocaza

Dans notre équipe on a une personne moldave, qui parle russe couramment, une Indienne, une personne qui maîtrise la langue arabe… Nous avons des équipes qui sont très multiculturelles. Et ça c’est essentiel, pour gérer ses clients locaux, nos équipes savent comment faire car culturellement ils savent comment les aborder.

Damien Leretaille
Managing director

Le conseil de Vocaza

On a un certain nombre de distributeurs en Europe de l’Est, au Moyen-Orient, en Inde, en Russie… Il faut faire un travail d’animation du réseau de distributeur : il faut être en contact régulier avec eux, aller les voir, les stimuler. Un partenaire avec qui on n’est pas beaucoup en contact va avoir tendance à nous oublier et passer plus de temps sur d’autres parties de son business.

Damien Leretaille
Managing director

Mais s’il est simple de partager quelques best practices, rien ne vaut l’échange avec les locaux et les entreprises qui ont déjà vécu ce type d’épopée. Alors n’attendez plus, posez-vous (et posez-leurs !) les bonnes questions, échangez et... faites vos valises (si vous êtes toujours convaincu).

Vous avez à présent toutes les cartes en main pour penser votre internationalisation. 

Do’s & don’ts

Réussir son internationalisation :
ce qu’il faut faire… ou pas !

L’internationalisation de votre activité ne s’inscrit pas dans une démarche opportuniste, enfin… pas uniquement ! Pas toujours simple de prendre le recul nécessaire tant les enjeux sont importants.

Voilà quelques conseils, qui pourront servir de guide pour les futures structures internationales.

Votre produit en lui-même, un nouveau client, une législation favorable sont autant d’opportunités qu’il faut savoir saisir. Mais pas à n’importe quel prix !

Stratégie

Do's

Rechallenger son business model


Mener une analyse poussée de son futur marché (taille, maturité, habitudes de consommation, législation…) 


S’assurer que son produit est bien adapté et ne pas hésiter à le repenser en impliquant ses équipes techniques
(prix, marketing, fonctionnalités...)


Bien évaluer le montant des investissements requis en fonction du lieu d’intégration (coût réels, temps passé à l’adaptation des équipes...)


Se fixer des objectifs SMART et se doter d’indicateurs de réussite adaptés à ce nouveau marché


Adopter une logique « test & learn » auprès d’acteurs locaux

Timothée Saumet
Cofondateur et CTO

Le conseil de Tilkee

Pas besoin de commencer par monter une filiale ou déplacer une équipe de 10 personnes si on n’est pas capable dans un premier temps de vendre à distance. C’est ce qui permet de tâter le terrain, d’amorcer la pompe. 

Dont's


Négliger la « maison mère », rogner sur sa feuille de route en concentrant ses moyens sur le nouveau marché


Exclure ses équipes managériales de
la réflexion stratégique


Sous-estimer ou négliger les différences culturelles 


Dupliquer la même stratégie dans tous les pays visés


Se lancer sur plusieurs marchés
en même temps, sans priorisation


Choisir le pays d’implantation par simple aspiration personnelle ou pour suivre la concurrence


Le conseil de Corys

Il faut identifier si ce qui va être prédominant pour le client va être la technologie achetée ou bien le prix. Par exemple, pour un simulateur de train, une partie importante du prix couvre la création des environnements 3D tout au long de la ligne de train. Il faut adapter le niveau de qualité au niveau de prix attendu par le client. D’où l’importance de bien connaître le contexte du marché

Didier Paen
Directeur innovation


Ressources humaines

S’assurer d’avoir les talents / la gestion RH adéquats (maîtrise de la langue, connaissance des marchés internationaux…).


S’assurer d’avoir l’organisation adéquate (possibilité de déléguer).


Envoyer des facilitateurs d’implantation expérimentés issus du siège pour le lancement du business en soutien aux équipes locales

Do's

Le conseil de Tilkee

Un enseignement fondamental : il faut que l’équipe commerciale ressemble à son marché. Si je vends
60 % en France, 10 % aux États-Unis et 30 % au Royaume-Uni, il me faut 6 Français, 1 Américain et 3 Anglais dans mon équipe commerciale. Car la barrière du langage – ou de la culture – joue énormément dans une vente complexe.

Timothée Saumet
Cofondateur et CTO

S’entourer de business developer français pour développer l’international.


Baser son internationalisation sur des équipes peu expérimentées.


Jeter votre V.I.E dans la cage aux fauves en lui donnant des responsabilités et des objectifs irréalistes.

Dont's

Le conseil de Vocaza

Dans notre équipe on a une personne moldave, qui parle russe couramment, une Indienne, une personne qui maîtrise la langue arabe… Nous avons des équipes qui sont très multiculturelles. Et ça c’est essentiel, pour gérer ses clients locaux, nos équipes savent comment faire car culturellement ils savent comment les aborder.

Damien Leretaille
Managing director


Networking

Do's

Intégrer un réseau local


Se doter de partenaires locaux


Se faire entourer et soutenir financièrement

Dont's

Partir seul


Négliger son réseau de distributeur


Faire fi des retours d’expérience

Le conseil de MyBus

Il ne faut surtout pas hésiter à solliciter le réseau des Chambres de commerce françaises à l’étranger, qui permet très facilement d’avoir des contacts avec des entreprises présentes sur place depuis longtemps. Le réseau French Tech est également un atout à saisir rapidement. Ils permettent de commencer à explorer un marché grâce à de nombreuses mises en relation. On n’en a pas toujours conscience, mais la communauté des entreprises françaises à l’étranger est très active. Les consulats et ambassades de France sont aussi facilitateurs d’implantation, de développement et de rayonnement économique pour les entreprises françaises.

Franck Raynaud
Cofondateur et COO

Le conseil de Vocaza

On a un certain nombre de distributeurs en Europe de l’Est, au Moyen-Orient, en Inde, en Russie… Il faut faire un travail d’animation du réseau de distributeur : il faut être en contact régulier avec eux, aller les voir, les stimuler. Un partenaire avec qui on n’est pas beaucoup en contact va avoir tendance à nous oublier et passer plus de temps sur d’autres parties de son business.

Damien Leretaille
Managing director

Mais s’il est simple de partager quelques best practices, rien ne vaut l’échange avec les locaux et les entreprises qui ont déjà vécu ce type d’épopée. Alors n’attendez plus, posez-vous (et posez-leurs !) les bonnes questions, échangez et... faites vos valises (si vous êtes toujours convaincu).

Vous avez à présent toutes les cartes en main pour penser votre internationalisation. 

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